60/ Montparnasse Janvier 1970
60/ Montparnasse Janvier 1970 En ce début de l’année 1970, les choses ne sont plus du tout pareilles. Au bureau, ils lui font tous la gueule parce qu’il a été dans un festival de pop music annoncé, décrié et vilipendé par France-Soir comme toxique c’est-à-dire : – tous drogués. Il est devenu le pestiféré même ses « ami(e)s gardent leurs distances devant la matrone en cheffe et sa « secrétaire », des acariâtres finies, vieillies sans mômes. Déjà les cours de droit et les examens qu’il réussit à la fac n’étaient pas très bien accueilli c’est le moins que l’on pouvait dire alors là France-Soir qui a déliré tous les jours sur Amougies, c’est trop. Il n’en a que faire : — Si elles veulent la guerre ; elles l’auront et après je me tire ! déclare à ceux, celles qui veulent l’entendre. Et puis le Golf Drouot pour décompresser ; “ J’étais chauffeur de taxi, j’ai entendu la sirène, je me suis garé et suis parti dans un rêve… les troi...